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Vous pouvez me joindre pour échanger des informations sur l'activité aérospatiale,
non pas en vol comme sur cette photo, mais lorsque je suis posé.
(Doc de JM Ristori ,2009)




POUR ME JOINDRE


Vous pouvez me contacter par courriel aux adresses :


jean-claude.aveni@wanadoo.fr .

aveni@lma.cnrs-mrs.fr  (secondaire)




QUI SUIS-JE ?

JC Aveni (1942)



Je ne suis pas cosmonaute !

Je suis passionné par les sciences physiques
en général, la radio, l'aviation, les fusées
et cela dès mon plus jeune âge.

J'ai piloté mon premier avion en école sur
le terrain d'aviation d'Aix les Milles en 1961.
Les avions Stampe et NC-853 me donneront mes
premières heures de vol, ab initio, bien
éprouvantes et émouvantes.


              

        L'auteur devient pilote militaire en 1963
                   (photo personnelle)             


Engagé dans l'Aviation Légère de l'Armée de Terre
en 1962, je suis devenu pilote militaire avion en
1963. J'ai quitté les avions pour m'orienter vers
le pilotage des hélicoptèresen 1964. Pilote de
combat en 1965, instructeur en 1968, puis chef de
patrouille en 1972, je suis devenu Chef Pilote
d'une escadrille de combat située dans l'Est de la
France dès 1972.
J'ai quitté le service actif en 1977 avec plus de
6000 heures de vol. Mes qualifications de pilote
professionnel civil et d'instructeur m'ont permis
de tester et renouveler des licences de pilotes
professionnels civils sur hélicoptères de 1977 à
1980. En 1983 j'ai été rappelé au titre des réserves
de l'ALAT comme simple pilote hélicoptère au service
de la toute nouvelle Force d'Action Rapide dite FAR.

Entre temps persuadé de la révolution technologique
que procurera la micro électronique, je me suis formé
au métier d'électronicien, en cours privés.
En 1977 sur examen j'ai été engagé au CNRS à Marseille
pour commencer à appliquer les nouvelles techniques à
base de microprocesseurs dont les toutes premières unités
arrivaient en France. En 1978 j'ai réalisé ma première
architecture de micro ordinateur avec le microprocesseur
Intel 8080 puis I-8085 et enfin par la suite du I-8086.
En 1984 sur examen j'ai été intégré au corps des Ingénieurs
d'Etudes du Centre National de la Recherche Scientifique.
J'ai participé aussi bien à la robotisation d'opérations
de mesures physiques qu'à l'étude des transmissions de
données numériques à distance. Cela m'a amené dès 1985 à
étudier ce qui allait devenir les populaires réseaux de
communications LAN et WAN.

Parallèlement à cette activité j'ai débuté en 1985 un cycle
d'enseignement à l'Université de Saint Jérôme de Marseille
aussi bien en cours qu'en travaux pratiques. L'intitulé de
mon cours était : Technologie des communications numériques
(TCN), il était destiné aussi bien aux Licences, qu'aux
Diplômes Universitaires et enfin aux DESS.

En 1992, au CNRS je me suis formé à la mesure et à
l'instrumentation pour pouvoir participer activement à des
opérations de recherche : propagation d'ondes acoustiques
sous-marines. J'avais au préalable conduit des opérations
de mesures infrarouge destinées à des applications médicales.
J'avais participé activement à la réalisation de chaînes
d'acquisition de données numériques reliées à des caméras
infrarouge et de rayons X.

                

              L'auteur en acoustique sous marine CNRS-LMA
                      (Photo personnelle nov 2002)

En 2003 je faisais valoir mes droits à la retraite et
je quittais Marseille pour m'installer en Corse.
Depuis toujours passionné par les communications radio,
d'abord à partir de postes à lampes que je modifiais
en 1955, puis à partir de 1968 de récepteurs de radio
semi professionnels pour l'écoute des ondes courtes,
je décodais couramment la télégraphie en code Morse.
En 1991 je devenais radio amateur en obtenant ma
licence radio télégraphiste. En 1988, alliant passion
pour l'astronautique et radio, je commençais à traquer
quelques satellites artificiels et j'interceptais les
communications de la station orbitale Saliout-7 (en
Russe, et tout à fait incompréhensible pour moi). Lors
de sa première mission spatiale, je contactais en vol
le spationaute français Jean-Pierre Haigneré sur Mir.
J'utilisais de temps en temps la liaison radio amateur
de cette station orbitale pour trafiquer via ordinateur
et radio avec d'autres radio amateurs du monde (1993).

Bien entendu je ne restais pas indifférent au plaisir
d'observer le ciel nocturne étoilé, et je passais et passe
encore du temps à scruter la voûte céleste, surtout l'hiver
où le ciel se montre plus spécifique. L'observation visuelle
des satellites est venue bien vite me détourner de cette
activité. J'améliorais ainsi rapidement mes connaissances
en orbitographie et je participais avec quelques collègues
à de nombreuses observations dont particulièrement les
rendez-vous entre les vaisseaux taxi Soyouz russes ou
navettes états-uniennes avec la station orbitale Mir, puis
l'ISS Alpha actuelle ; c'était et c'est encore aujourd'hui
le point d'orgue de l'observation satellitaire.

Je rédige maintenant de nombreux articles sur l'histoire de
l'astronautique pour des mouvements associatifs du domaine.
J'avais dès 1957 pris des notes sur cette activité au jour
le jour. Je lis aussi bien des ouvrages techniques sur les
avions et leurs histoires, que sur les fusées. Grâce au
réseau Internet j'ai des correspondants dans le monde entier
qui partagent avec moi ces passionnantes aventures techniques.

Accessoirement j'ai repris, avec nostalgie, le pilotage des
avions à l'aéro-club de la Corse. Lorsqu'au soleil couchant
je traverse le golfe d'Ajaccio vers Campo Dell'Oro j'ai une
pensée toute mélancolique pour tous les amis qui m'ont, à un
moment ou à un autre, accompagné dans ces histoires.

            

               Le Golfe d'Ajaccio au soleil couchant
                        (photo de JM Ristori 2005)





Et bien oui, ces deux photos sont séparées par 50 ans. A droite 1963 élève pilote à Dax ES-ALAT, Nord 3202, à gauche
2013, Aéro club de la Corse sur Piper PA-32 Saratoga. [Doc de l'auteur 2013]


"Non, je n'ai pas été cosmonaute, à mon grand regret".


© aveni 2000/2016






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